Il arrive que dans certains chemins de vie, dans certaines histoires, nous passons par la « case hôpital » (ou clinique).
Quelque soit notre pathologie, devoir quitter le cocon de son chez-soi, le refuge qu’on connaît bien, demande du courage ainsi qu’une faculté d’adaptation (que nous ne possédons pas forcément). Et surtout lorsque nous n’avons pas choisi l’hospitalisation, ou pas vraiment… On peut nous mettre la pression, ou bien se mettre la pression seul(e).
Si on l’a décidé par nous-même, nous pouvons nous raccrocher à nos différentes motivations, à nos objectifs.
La subir demande aussi de subir les autres patients et leur maladie. Souvent nous sommes comme des « éponges », et nous absorbons facilement la souffrance de l’autre. Savoir se protéger des douleurs qui ne nous appartiennent pas, c’est savoir aussi renforcer notre mental. Ce qui n’empêche pas l’amicale sympathie, et de créer des liens. Dans certaines structures, on nous demande de ne pas trop se lier entre convalescents. Histoire de ne pas s’identifier au statut de « malade », de ne pas se confondre avec d’autres « blessures »… Personnellement je ne suis pas tout à fait d’accord avec certains de leurs concepts. Je pense que les relations qui se tissent dans ces endroits peuvent être parfois « puissantes ». Trouver celles & ceux qui complèteront ce lieu plein d’espoir, des personnes inspirantes…
Ritualiser les repas, les ateliers qui sont proposés, les cycles de sommeil… Être hospitalisé(e), c’est comme revenir à l’école, mais « L’École de la VRAIE vie ». Apprendre à régresser et se réapproprier l’enfant qui nous berce.
« Peut-être que tout le monde ment à l’extérieur, peut-être que ce monde est stupide(…) », pourtant, pouvoir avoir le droit de vivre sa vie comme on l’entend, c’est tellement mieux ! Alors, bien préparer son retour à la maison et investir sur le long terme pour la suite des évènements qui nous attendent, c’est cela la base d’une hospitalisation optimisée.
Une espèce de « petit » mal pour un « énorme » bien !
Puiser dans quelques unes de ses ressources, prendre tout ce qu’il y a à prendre, ici & là…
Profiter de cet espace de parole qui nous est dédié, prendre toute la place dont nous avons besoin et qui est à notre disposition. Faire confiance aux soignants qui sont là, écrire et prendre des notes le plus possible…
Pour un séjour qui portera ses fruits, qui nous fera découvrir le noyau dur de notre « moi » le plus ancré, de nos capacités…
Visualiser, se projeter et donc avancer.
Ne pas oublier que les rechutes sont possibles, que ça arrive malgré nous, que plusieurs « voyages » de ce type sont envisageables. Ne nous arrêtons pas là pour autant.
Prenons cette, ces nouvelles aventures qui nous seront A CHAQUE FOIS profitables !
Une expérience, bonne ou mauvaise est TOUJOURS un pas de plus vers la guérison et la quête de soi.
On tient bon ! C’est pour NOUS.
😉
L’Hospitalisation
Il arrive que dans certains chemins de vie, dans certaines histoires, nous passons par la « case hôpital » (ou clinique).
Quelque soit notre pathologie, devoir quitter le cocon de son chez-soi, le refuge qu’on connaît bien, demande du courage ainsi qu’une faculté d’adaptation (que nous ne possédons pas forcément). Et surtout lorsque nous n’avons pas choisi l’hospitalisation, ou pas vraiment… On peut nous mettre la pression, ou bien se mettre la pression seul(e).
Si on l’a décidé par nous-même, nous pouvons nous raccrocher à nos différentes motivations, à nos objectifs.
La subir demande aussi de subir les autres patients et leur maladie. Souvent nous sommes comme des « éponges », et nous absorbons facilement la souffrance de l’autre. Savoir se protéger des douleurs qui ne nous appartiennent pas, c’est savoir aussi renforcer notre mental. Ce qui n’empêche pas l’amicale sympathie, et de créer des liens. Dans certaines structures, on nous demande de ne pas trop se lier entre convalescents. Histoire de ne pas s’identifier au statut de « malade », de ne pas se confondre avec d’autres « blessures »… Personnellement je ne suis pas tout à fait d’accord avec certains de leurs concepts. Je pense que les relations qui se tissent dans ces endroits peuvent être parfois « puissantes ». Trouver celles & ceux qui complèteront ce lieu plein d’espoir, des personnes inspirantes…
Ritualiser les repas, les ateliers qui sont proposés, les cycles de sommeil… Être hospitalisé(e), c’est comme revenir à l’école, mais « L’École de la VRAIE vie ». Apprendre à régresser et se réapproprier l’enfant qui nous berce.
« Peut-être que tout le monde ment à l’extérieur, peut-être que ce monde est stupide(…) », pourtant, pouvoir avoir le droit de vivre sa vie comme on l’entend, c’est tellement mieux ! Alors, bien préparer son retour à la maison et investir sur le long terme pour la suite des évènements qui nous attendent, c’est cela la base d’une hospitalisation optimisée.
Une espèce de « petit » mal pour un « énorme » bien !
Puiser dans quelques unes de ses ressources, prendre tout ce qu’il y a à prendre, ici & là…
Profiter de cet espace de parole qui nous est dédié, prendre toute la place dont nous avons besoin et qui est à notre disposition. Faire confiance aux soignants qui sont là, écrire et prendre des notes le plus possible…
Pour un séjour qui portera ses fruits, qui nous fera découvrir le noyau dur de notre « moi » le plus ancré, de nos capacités…
Visualiser, se projeter et donc avancer.
Ne pas oublier que les rechutes sont possibles, que ça arrive malgré nous, que plusieurs « voyages » de ce type sont envisageables. Ne nous arrêtons pas là pour autant.
Prenons cette, ces nouvelles aventures qui nous seront A CHAQUE FOIS profitables !
Une expérience, bonne ou mauvaise est TOUJOURS un pas de plus vers la guérison et la quête de soi.
On tient bon ! C’est pour NOUS.
😉
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