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« Dis-moi ce que tu manges, je te dirai ce que tu ‘hais' »

Je vous propose des articles, conseils & des réponses pour aller mieux

« Dis-moi ce que tu manges, je te dirai ce que tu ‘hais' »

Hello helloooo You !

Woooooow, ça faisait un bail que je ne vous avais pas écrit… Plus d’un an a passé, déjà… :'(
La bonne nouvelle c’est que c’était pour la bonne cause (Roman en chantier, Formation, Introspection…), et la TRÈS bonne nouvelle c’est que je n’ai jamais cessé de penser à NOUS ! 😀

( D’ailleurs vous pouvez me suivre sur Instagram : https://www.instagram.com/delphine_l_therapeute/, ainsi que sur Facebook : https://www.facebook.com/therapeute.relationdaide.delphinelascar , où je suis plus présente, avec des citations, story etc. Toujours plus colorées & inspirantes <3 )

Mais voilà, le Printemps est revenu, et moi aussi !

Pour vous parler d’un sujet qui me tient à cœur, en lien avec l’un de mes précédents articles Le « Poids » de la souffrance : https://delphine-lascar-therapeute.fr/?p=317

Eh non ce n’est pas pour sonner l’alerte sur l’été qui arrive et sa sempiternelle « saison des maillots de bain »…
Non non.

Ce que je veux partager avec Vous aujourd’hui, c’est notre rapport à la nourriture, à « la bouffe », notre corps, nos émotions etc.
Comme vous avez pu le voir j’ai repris ce fameux proverbe: (malheureusement devenue une expression courante) « Dis-moi ce que tu manges, je te dirai ce que tu es »
Et personnellement je ne suis pas foncièrement d’accord avec celle-ci.
Voilà pourquoi je trouve plus juste, et plus judicieux, de parler ici de « Haine ».
OUI, parce que, et là je l’approuve: Nous « mangeons nos émotions ».
Et elles sont plurielles:
La colère que l’on « ravale », ou que l’on a du mal à « digérer »; la tristesse qui nous « dévore »; Le sentiment d’insécurité ou de solitude qui nous laisse un vide dans l’estomac, impossible à rassasier etc etc…

Je ne Vous apprends rien en Vous disant que le « besoin de se remplir » est omniprésent dans notre société actuelle.
« Se nourrir » n’a plus la même consonance de nos jours, et ce parce que Nous voulons combler Nos carences affectives.
A défaut d’Amour, il Nous reste les calories…
Et là, la nutrition perd tout son sens premier & primaire.
Ce n’est plus manger car on a faim, mais bel et bien « bouffer » pour arriver à d’autres fins…
Nous le savons, les causes sont multi factorielles & les conséquences dévastatrices, tant sur le point physique que psychologique !

En ce qui me concerne j’en connais un rayon sur « le poids », ses pressions; l’obsession alimentaire; les régimes; les balances; les nutritionnistes etc.
Etant passée d’un extrême à l’autre: Anorexie, Boulimie, Hyperphagie… J’ai longtemps eu des écarts en Kg très impressionnants.
Et je me suis rendue compte que je « mangeais ma colère ».
D’ailleurs j’apprends encore aujourd’hui à l’exprimer, la faire sortir, la « cracher », la « vomir »…
Parce que j’ai compris que celle-ci est légitime ! Et qu’elle a sa place ! ( cf mon article sur la colère: https://delphine-lascar-therapeute.fr/?p=524 )
Voilà pourquoi il est essentiel et nécessaire de mieux s’écouter, pour mieux se connaître et ainsi s’autoriser enfin à « faire jaillir notre vérité ».

Ce que je mange ou pouvais manger, n’est certainement pas « ce que je suis », et ne façonne en aucune manière la personne que j’incarne.
Certes j’adore ce qui est bon, mais je déteste ce qui me fait du mal ! (Jusque là c’est logique. Bon d’accord nous sommes toutes & tous plus ou moins « maso », mais jusqu’à un certain point…)

Nous avons le droit d’aimer la bonne bouffe (et quelque fois la mal bouffe).
Mais Nous avons aussi le droit de haïr ce qu’elle peut parfois (ou souvent) nous faire endurer.

Non je ne suis pas ce hamburger, ce gâteau ou cette pizza (les bons vieux clichés…), NON, je suis seulement en colère, triste, fatigué.e, seul.e, frustré.e, mal aimé.e, apeuré.e…

Et c’est très difficile de laisser s’afficher toutes ces émotions au grand jour.
La vérité, « Notre vérité » laisse un goût d’amertume, « dure à avaler ».

Alors Nous Nous enfonçons de plus en plus dans « la honte », la culpabilité, les non-dits… Bref tout ce qu’il y a de plus terrible pour un être humain.
C’est incroyable ce que Nous pouvons Nous infliger à nous-même, Nous flageller, Nous saboter… Pourquoi tant de Haine ???  (disait l’autre)

En fait, on nous fait tellement Nous détester, Nous & Notre corps depuis si longtemps, que ce soit dans les médias, notre famille, notre entourage, Notre conditionnement…
Il y a une époque où l’on se faisait resserrer (visser…) la mâchoire pour manger moins, où l’on se faisait retirer des côtes pour être plus « fine »…
Et maintenant, nous sommes passés aux chirurgies multiples, qui malheureusement n’en restent pas moins barbares (Ablation de l’estomac…).
Je ne rejette pas TOUTES les opérations, et sais combien c’est loin d’être une solution de facilité pour beaucoup de personnes ! Bien au contraire. C’est un peu « la dernière chance » pour recouvrer une bonne santé.
Mais ce que je déplore, c’est tout le côté psyché que beaucoup de médecins ou de gens « mal informés », « oublient » sur le bord de la route d’une vie d’un individu à part entière…

Un corps « gros » ou « maigre », ce n’est pas juste une question de « volonté » (Oh le vilain mot…), d’un trop plein ou d’un manque de nourriture.

Finalement il n’y a pas de scission Corps/Esprit.
Nous sommes Un.e, avec tout un tas d’émotions, de sentiments, de ressentiments, de couleurs, de douleurs…

Alors,

Si nous remplacions ce:

« Je te hais toi la souffrance, je hais tout ce qui me fait te ressentir ! »

par:

« JE SUIS DESOLE·E, PARDONNE-MOI, JE T’AIME, MERCI ! », ou la méthode Ho’oponopono, « tradition sociale et spirituelle de repentir et de réconciliation des anciens Hawaïens ». (A découvrir par exemple, à travers le livre « Ho’oponopono, Ce pouvoir est en vous » de Laurent Debaker).

 

En attendant je vous envoie un grand rayon de soleil pour Votre cœur & Votre âme ! 😉

 

 

 

 

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