On nous met parfois des bâtons dans les roues… En nous interdisant d’être ce que nous sommes en réalité. Interdiction de grandir ou bien de changer, de penser à soi, d’attirer l’attention. D’être une femme ou un homme, d’être en bonne santé ou d’être malade… Et il arrive aussi que, nous-même, nous interdisons tout cela. Nous devenons alors notre propre rival, voir notre pire rival…
Et si nous nous donnions enfin l’autorisation d’exister ?! Sans attendre l’approbation de l’autre.
J’ai remarqué que je n’arrêtais pas de m’excuser. « Pardon », « Excusez-moi », « désolé »… Au delà de la politesse, j’ai « peur de déranger« , peur de m’affirmer… Et la peur, c’est ce qui guide énormément notre manière d’être, de fonctionner. Elle ne s’en va pas comme ça. L’exemple le plus flagrant c’est la peur de demander, de poser une question. En fait nous nous octroyons le « Non » d’office alors que si on pose LA question, le « Oui » devient alors possible !
Encore combien de portes fermées n’oserions-nous pas ouvrir ?
Tant d’opportunités qui nous tendent les bras, sans que nous nous en rendions forcément compte. C’est surtout parce qu’on nous a mis en tête que nous ne sommes pas capable ou pas assez bien… Inconsciemment nous nous répétons ces injonctions nous empêchant de faire ce que l’on pourrait faire, d’être ce que l’on voudrait être…
Apprenons à dire « Non », et à dire « Oui », lorsque l’un ou l’autre s’avèrent nécessaires. « Je prends ce temps de réflexion dont j’ai vraiment besoin et puis j’agis ».
Ne nous laissons pas faire !
« Personne ne peut vous faire sentir inférieur sans votre consentement ». C’est Eleanor Roosevelt qui a dit cela. Donc « Si quelqu’un m’interdit ou me rabaisse, je ne laisse pas passer, je n’y consens certainement pas ! ».
« A partir d’aujourd’hui, je suis le (la) seul(e) qui prendra toutes les décisions pour moi ».
Se faire interdire, c’est freiner la connaissance & le développement des richesses personnelles. Le jour où on désire exploiter ces richesses, qui sont enfouies en nous, on sera dans la capacité de se donner le droit de les exploiter.
N’oublions jamais que nous sommes apte à choisir, à décider et à agir.
Soyons la première personne à nous venir en aide.
« S’interdire de », « Ne pas y aller », « Ne pas faire »: « C’est un choix que j’ai, que j’accepte et accueille, en toute conscience ».
« Je suis libre. J’ai mon libre arbitre. J’agis et prends mes responsabilités ».
C’est décidé ! 😉
« Il est interdit d’interdire ! », Autorisons-nous :)
On nous met parfois des bâtons dans les roues… En nous interdisant d’être ce que nous sommes en réalité. Interdiction de grandir ou bien de changer, de penser à soi, d’attirer l’attention. D’être une femme ou un homme, d’être en bonne santé ou d’être malade… Et il arrive aussi que, nous-même, nous interdisons tout cela. Nous devenons alors notre propre rival, voir notre pire rival…
Et si nous nous donnions enfin l’autorisation d’exister ?! Sans attendre l’approbation de l’autre.
J’ai remarqué que je n’arrêtais pas de m’excuser. « Pardon », « Excusez-moi », « désolé »… Au delà de la politesse, j’ai « peur de déranger« , peur de m’affirmer… Et la peur, c’est ce qui guide énormément notre manière d’être, de fonctionner. Elle ne s’en va pas comme ça. L’exemple le plus flagrant c’est la peur de demander, de poser une question. En fait nous nous octroyons le « Non » d’office alors que si on pose LA question, le « Oui » devient alors possible !
Encore combien de portes fermées n’oserions-nous pas ouvrir ?
Tant d’opportunités qui nous tendent les bras, sans que nous nous en rendions forcément compte. C’est surtout parce qu’on nous a mis en tête que nous ne sommes pas capable ou pas assez bien… Inconsciemment nous nous répétons ces injonctions nous empêchant de faire ce que l’on pourrait faire, d’être ce que l’on voudrait être…
Apprenons à dire « Non », et à dire « Oui », lorsque l’un ou l’autre s’avèrent nécessaires. « Je prends ce temps de réflexion dont j’ai vraiment besoin et puis j’agis ».
Ne nous laissons pas faire !
« Personne ne peut vous faire sentir inférieur sans votre consentement ». C’est Eleanor Roosevelt qui a dit cela. Donc « Si quelqu’un m’interdit ou me rabaisse, je ne laisse pas passer, je n’y consens certainement pas ! ».
« A partir d’aujourd’hui, je suis le (la) seul(e) qui prendra toutes les décisions pour moi ».
Se faire interdire, c’est freiner la connaissance & le développement des richesses personnelles. Le jour où on désire exploiter ces richesses, qui sont enfouies en nous, on sera dans la capacité de se donner le droit de les exploiter.
N’oublions jamais que nous sommes apte à choisir, à décider et à agir.
Soyons la première personne à nous venir en aide.
« S’interdire de », « Ne pas y aller », « Ne pas faire »: « C’est un choix que j’ai, que j’accepte et accueille, en toute conscience ».
« Je suis libre. J’ai mon libre arbitre. J’agis et prends mes responsabilités ».
C’est décidé ! 😉
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