« L’Amour », un si grand mot… On en parle beaucoup, mais on ne l’applique pas souvent, ou pas vraiment. On nous raconte, nous chante, nous « mitraille » « d’amour »… Partout, tout le temps (ou presque). Le fameux « Faîtes ce que je dis », mais « Ne faîtes pas ce que je fais ». Notamment dans les religions, qui sont le berceau même de l’amour et qui le prônent à longueur de temps. Malheureusement, certains croyants ne s’en tiennent qu’à la théorie… Comment faire dans une vie où l’amour n’a pas été de soi ? N’a pas été transmis ? Cette « quête du Graal » qui commence entre « moi & moi », a ses codes et ses règles malgré tout.
Si on se disait que: « Ma plus belle Histoire d’Amour, c’est Moi » ?
L’Amour, c’est d’abord un apprentissage. Il se travaille et s’apprivoise tous les jours. Nous savons déjà que la personne avec qui nous sommes 24h/ 24, c’est nous-même. Alors, lorsque l’on nous parle « d’égo« , c’est là que ça se joue. A ne pas confondre avec le narcissisme. Ici, le terme d’égo fait appel au respect que l’on se doit et donc à l’amour qui en découle.
Nous recherchons toutes & tous celui ou celle qui nous aimera, d’un amour inconditionnel, pour ce que nous sommes… Avides d’amour, de tendresse et d’affection, nous mettons la barre très haute. En fait ce que nous attendons de l’autre, nous ne sommes parfois pas capables de nous l’attribuer.
Quand le fantasme prend vie, il arrive qu’on ne soit finalement pas près. Que l’on ait du mal à accepter, à recevoir l’amour qu’on veut bien nous prodiguer. Simplement car nous ne sommes pas aussi à l’aise qu’on voulait bien le croire.
On doute profondément, on se questionne: « Est-ce que je le mérite ? », « Suis-je capable…? »
Si consciemment, ou inconsciemment ce genre de questions revient en boucle c’est que notre relation à nous est bancale. Chacun à notre niveau, selon notre vécu, nos expériences plus ou moins éprouvantes, bouleversantes. Là où nous pouvons transformer, changer la donne; c’est notre notion de bienveillance, de non-jugement et de respect de nous-même sur laquelle je veux revenir.
SI je prends mon exemple, je me suis peu ou pas respectée tout au long de ma vie. Longtemps je me suis considérée comme ce que j’appelle « une mort-vivante ». Morte à l’intérieur et vivante d’apparence. Mon corps (mort), alors laissé à l’abandon, ne trouvait pas le respect auquel il avait droit. C’est en apprenant, encore aujourd’hui, que respecter tout mon être m’apportera, indubitablement, le respect des autres.
Quelque soit notre pathologie, physique ou psychique, celle-ci n fait pas de nous ce que nous sommes ! Ne nous identifions pas à un état. Nous sommes bien plus que ça !
Je reconnais que l’amour à soi ou bien aux autres n’est pas d’une logique limpide, à partir du moment où on se sent « mal ». On se laisse donc le temps de prendre son temps !
Porter un nouveau regard sur soi n’est pas forcément évident, cependant il s’abreuve de toutes petites choses, de petits « rien »… Apprendre, c’est aussi faire des erreurs. Des erreurs qui nous serviront par la suite. L’apprentissage de l’Amour n’est pas lisse. C’est en remarquant certains mots gentils que l’on peut nous dire, en notant ce qu’il nous arrive de bon et en étant « ouverts », que l’on arrive enfin à entrevoir le côté brillant de l’Amour.
Habiter son corps, se sentir vivant, « vibrant » !
Ouvrons, élargissons notre regard. Prêtons attention à nos divers besoins, redécouvrons nos envies. Il suffit d’un geste, pour soi.
Oui c’est un « combat » que de s’aimer et d’aimer. Ce mot, « combat » fait peut-être peur mais il laisse la place à ce qu’il y a de plus beau.
Et pour illustrer cela je finirai par cette réplique du film Seven:
« C’est plus facile de tomber dans la drogue que d’affronter la vie, plus facile de piquer ce que vous avez envie que d’essayer de le gagner, plus facile de battre un enfant que de l’élever. L’Amour par contre, ça demande des efforts, du courage. »
😉
L’Amour, ses secrets…
« L’Amour », un si grand mot… On en parle beaucoup, mais on ne l’applique pas souvent, ou pas vraiment. On nous raconte, nous chante, nous « mitraille » « d’amour »… Partout, tout le temps (ou presque). Le fameux « Faîtes ce que je dis », mais « Ne faîtes pas ce que je fais ». Notamment dans les religions, qui sont le berceau même de l’amour et qui le prônent à longueur de temps. Malheureusement, certains croyants ne s’en tiennent qu’à la théorie… Comment faire dans une vie où l’amour n’a pas été de soi ? N’a pas été transmis ? Cette « quête du Graal » qui commence entre « moi & moi », a ses codes et ses règles malgré tout.
Si on se disait que: « Ma plus belle Histoire d’Amour, c’est Moi » ?
L’Amour, c’est d’abord un apprentissage. Il se travaille et s’apprivoise tous les jours. Nous savons déjà que la personne avec qui nous sommes 24h/ 24, c’est nous-même. Alors, lorsque l’on nous parle « d’égo« , c’est là que ça se joue. A ne pas confondre avec le narcissisme. Ici, le terme d’égo fait appel au respect que l’on se doit et donc à l’amour qui en découle.
Nous recherchons toutes & tous celui ou celle qui nous aimera, d’un amour inconditionnel, pour ce que nous sommes… Avides d’amour, de tendresse et d’affection, nous mettons la barre très haute. En fait ce que nous attendons de l’autre, nous ne sommes parfois pas capables de nous l’attribuer.
Quand le fantasme prend vie, il arrive qu’on ne soit finalement pas près. Que l’on ait du mal à accepter, à recevoir l’amour qu’on veut bien nous prodiguer. Simplement car nous ne sommes pas aussi à l’aise qu’on voulait bien le croire.
On doute profondément, on se questionne: « Est-ce que je le mérite ? », « Suis-je capable…? »
Si consciemment, ou inconsciemment ce genre de questions revient en boucle c’est que notre relation à nous est bancale. Chacun à notre niveau, selon notre vécu, nos expériences plus ou moins éprouvantes, bouleversantes. Là où nous pouvons transformer, changer la donne; c’est notre notion de bienveillance, de non-jugement et de respect de nous-même sur laquelle je veux revenir.
SI je prends mon exemple, je me suis peu ou pas respectée tout au long de ma vie. Longtemps je me suis considérée comme ce que j’appelle « une mort-vivante ». Morte à l’intérieur et vivante d’apparence. Mon corps (mort), alors laissé à l’abandon, ne trouvait pas le respect auquel il avait droit. C’est en apprenant, encore aujourd’hui, que respecter tout mon être m’apportera, indubitablement, le respect des autres.
Quelque soit notre pathologie, physique ou psychique, celle-ci n fait pas de nous ce que nous sommes ! Ne nous identifions pas à un état. Nous sommes bien plus que ça !
Je reconnais que l’amour à soi ou bien aux autres n’est pas d’une logique limpide, à partir du moment où on se sent « mal ». On se laisse donc le temps de prendre son temps !
Porter un nouveau regard sur soi n’est pas forcément évident, cependant il s’abreuve de toutes petites choses, de petits « rien »… Apprendre, c’est aussi faire des erreurs. Des erreurs qui nous serviront par la suite. L’apprentissage de l’Amour n’est pas lisse. C’est en remarquant certains mots gentils que l’on peut nous dire, en notant ce qu’il nous arrive de bon et en étant « ouverts », que l’on arrive enfin à entrevoir le côté brillant de l’Amour.
Habiter son corps, se sentir vivant, « vibrant » !
Ouvrons, élargissons notre regard. Prêtons attention à nos divers besoins, redécouvrons nos envies. Il suffit d’un geste, pour soi.
Oui c’est un « combat » que de s’aimer et d’aimer. Ce mot, « combat » fait peut-être peur mais il laisse la place à ce qu’il y a de plus beau.
Et pour illustrer cela je finirai par cette réplique du film Seven:
« C’est plus facile de tomber dans la drogue que d’affronter la vie, plus facile de piquer ce que vous avez envie que d’essayer de le gagner, plus facile de battre un enfant que de l’élever. L’Amour par contre, ça demande des efforts, du courage. »
😉
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