Et si nous n’avions pas vraiment grandi ? Et que l’enfant que nous étions serait en fait toujours là, à murmurer en silence son existence…
Vous connaissez peut-être Thich Nhat Hanh, le grand maître du bouddhisme avec son célèbre livre « Prendre soin de l’enfant intérieur, faire la paix avec soi ». Sinon je ne peux que vous encourager à le lire ! 😉
Indirectement nous sommes nos propres parents. Nous nous devons de nourrir et de soigner ce petit être en nous qui n’a soif que de notre amour et de notre compassion.
On se dit, que si certains criminels tristement connus avaient été bercés et élevés avec tendresse et affection, peut-être auraient-ils tournés différemment ?
L’enfant que nous avons été est encore bel et bien palpable. Il nous a accompagné et épaulé durant chacun des bouleversements de notre vie.
Si l’on se rencontrait, à l’âge que l’on a aujourd’hui avec le « nous enfant » à l’âge de 5 ans… Que croiriez-vous qu’il se passerait ? Ne donneriez-vous pas une longue étreinte pleine d’émotion à votre « petit vous » ? Personnellement, je sais que je le protégerai férocement. Que j’aurai envie de le rassurer tout en le serrant fort dans mes bras.
C’est fou comme nous pouvons être indulgents et combatif lorsqu’il ne s’agit pas de nous dans le présent ! Pourquoi ne propageons-nous pas cet amour tout chaud pour celui ou celle que nous sommes devenu ?
Nous méritons tout autant que cet enfant blessé du passé, ou que n’importe quel autre enfant que nous défendrions naturellement. Si nous nous voyions comme tel, cela changerait la donne.
Prenons désormais les décisions en fonction de ce qu’il y aurait de meilleur pour Nous. En tenant compte de cet autre petit cœur qui bat.
Il y a un exercice qu’il est intéressant de faire. C’est d’écrire, sous forme de dialogues, entre le vous actuel & le vous enfant (choisissez l’âge qui vous inspire le plus, par exemple 5-6 ans…). Imaginez qui commencera à parler durant cette rencontre extraordinaire; les différentes questions que l’un posera à l’autre… Ainsi que l’heureux dénouement qui mettra fin à cet incroyable échange. Adoptez l’écriture automatique, laissez courir le stylo sur le papier. Ne réfléchissez pas trop. Posez-vous dans un endroit calme et prenez le temps de vous accorder ce petit moment de partage avec vous-même. Il est fort probable que vous découvriez des vérités que vous aviez enfouies. Votre coeur peut se serrer, quelques larmes peuvent couler lors de cet exercice, cependant ce qu’il en découlera ce sont de multiples bénéfices indiscutables, dans ce cheminement que vous entreprenez pour votre épanouissement propre.
Réconcilions enfin l’adulte & l’enfant qui résident tout deux dans ce même corps. Prenons en compte leurs désirs, leurs besoins et donc leur entité à part entière.
C’est en les écoutant vraiment, que nous pourrons comprendre, et connaître le chemin vers lequel se diriger.
Cette petite voix constante que nous transformons inconsciemment en brouhaha afin de ne plus l’entendre, il est temps de lui laisser la place dont elle manque cruellement. Prenons le recul nécessaire, et apaisons ces deux discours intérieurs qui nous tiraillent perpétuellement.
Cherchons et trouvons cette paix dont nous sommes indéniablement digne.
Cet enfant en Nous est le guide, la clef, qui nous ouvrira les portes d’une vie de confiance retrouvée.
Prêtons-lui cette toute nouvelle attention dont nous sommes toutes & tous capable, tendons bien l’oreille, il a tant à nous apprendre…
C’est une véritable mine d’or !
😀
« Cet enfant en moi »
Et si nous n’avions pas vraiment grandi ? Et que l’enfant que nous étions serait en fait toujours là, à murmurer en silence son existence…
Vous connaissez peut-être Thich Nhat Hanh, le grand maître du bouddhisme avec son célèbre livre « Prendre soin de l’enfant intérieur, faire la paix avec soi ». Sinon je ne peux que vous encourager à le lire ! 😉
Indirectement nous sommes nos propres parents. Nous nous devons de nourrir et de soigner ce petit être en nous qui n’a soif que de notre amour et de notre compassion.
On se dit, que si certains criminels tristement connus avaient été bercés et élevés avec tendresse et affection, peut-être auraient-ils tournés différemment ?
L’enfant que nous avons été est encore bel et bien palpable. Il nous a accompagné et épaulé durant chacun des bouleversements de notre vie.
Si l’on se rencontrait, à l’âge que l’on a aujourd’hui avec le « nous enfant » à l’âge de 5 ans… Que croiriez-vous qu’il se passerait ? Ne donneriez-vous pas une longue étreinte pleine d’émotion à votre « petit vous » ? Personnellement, je sais que je le protégerai férocement. Que j’aurai envie de le rassurer tout en le serrant fort dans mes bras.
C’est fou comme nous pouvons être indulgents et combatif lorsqu’il ne s’agit pas de nous dans le présent ! Pourquoi ne propageons-nous pas cet amour tout chaud pour celui ou celle que nous sommes devenu ?
Nous méritons tout autant que cet enfant blessé du passé, ou que n’importe quel autre enfant que nous défendrions naturellement. Si nous nous voyions comme tel, cela changerait la donne.
Prenons désormais les décisions en fonction de ce qu’il y aurait de meilleur pour Nous. En tenant compte de cet autre petit cœur qui bat.
Il y a un exercice qu’il est intéressant de faire. C’est d’écrire, sous forme de dialogues, entre le vous actuel & le vous enfant (choisissez l’âge qui vous inspire le plus, par exemple 5-6 ans…). Imaginez qui commencera à parler durant cette rencontre extraordinaire; les différentes questions que l’un posera à l’autre… Ainsi que l’heureux dénouement qui mettra fin à cet incroyable échange. Adoptez l’écriture automatique, laissez courir le stylo sur le papier. Ne réfléchissez pas trop. Posez-vous dans un endroit calme et prenez le temps de vous accorder ce petit moment de partage avec vous-même. Il est fort probable que vous découvriez des vérités que vous aviez enfouies. Votre coeur peut se serrer, quelques larmes peuvent couler lors de cet exercice, cependant ce qu’il en découlera ce sont de multiples bénéfices indiscutables, dans ce cheminement que vous entreprenez pour votre épanouissement propre.
Réconcilions enfin l’adulte & l’enfant qui résident tout deux dans ce même corps. Prenons en compte leurs désirs, leurs besoins et donc leur entité à part entière.
C’est en les écoutant vraiment, que nous pourrons comprendre, et connaître le chemin vers lequel se diriger.
Cette petite voix constante que nous transformons inconsciemment en brouhaha afin de ne plus l’entendre, il est temps de lui laisser la place dont elle manque cruellement. Prenons le recul nécessaire, et apaisons ces deux discours intérieurs qui nous tiraillent perpétuellement.
Cherchons et trouvons cette paix dont nous sommes indéniablement digne.
Cet enfant en Nous est le guide, la clef, qui nous ouvrira les portes d’une vie de confiance retrouvée.
Prêtons-lui cette toute nouvelle attention dont nous sommes toutes & tous capable, tendons bien l’oreille, il a tant à nous apprendre…
C’est une véritable mine d’or !
😀
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